Reprendre le contrôle de sa vie le déclic

 

Qu’est-ce que reprendre le contrôle de sa vie ? Qui dit reprendre dit avant cela perte. Souvent perdre le contrôle de sa vie c’est : être au chômage et se laisser aller, détester son travail et continuer à vivre comme un robot, avoir plus de tristesse que de joie, avoir énormément de regret (trop), s’être enlisé dans une vie qui n’est pas la sienne, sensation d’avoir touché le fond, etc.

 

Tu réalises alors tout d’un coup, que tu as vécu ou que tu vis dans le brouillard. C’est ce qu’on appelle un déclic. Cette prise de conscience amène souvent à des réflexions sur les changements à effectuer dans ta vie pour redevenir l’auteur de ton histoire.

 

Un des points phare des changements de vie ou de tout simplement reprendre en main sa vie commence très souvent par un déclic. C’est cette prise de conscience qui fait que tu peux travailler pour être la meilleure version de toi-même. Avoir un déclic n’est parfois pas suffisant, il y a parfois le premier déclic (conscient ou non) que quelque chose ne fonctionne pas dans sa vie et qu’on s’est perdue en chemin. Ce déclic n’entraine pas forcément le déclic qui te permet de mettre en place des actions réelles.

 

Facile à dire, comment fait-on alors pour avoir ces déclics ? En cherchant sur internet, et en parlant à mon entourage, l’idée d’un changement du jour au lendemain et d’un déclic soudain est encore très présent. Seulement voilà, contrairement à l’imaginaire collectif, un déclic ne fonctionne pas toujours de la sorte. La plupart du temps, un déclic se déclic justement après des jours, semaines ou mois. C’est la résultante d’un travail plus ou moins fastidieux de réflexion et de tentatives plus ou moins fructueuses.

 

Pour qu’un déclic ait lieu, il faut que le terrain psychologique soit fertile à le recevoir. Lorsque je parle de terrain fertile, cela se traduit souvent par un ras le bol ou une trop grande fatigue/lassitude.

 

Alors comment faire pour aider à créer un déclic ? Voici quelques idées pouvant être utiles :

 

  1. Parfois le déclic vient après s’être mise en route

Lorsqu’on souhaite perdre du poids ou arrêter de fumer par exemple, se lancer et essayer peut amener à un déclic. La première fois, vous arrêter de fumer 1 journée, puis la semaine d’après 2 jours… idem pour la perte de poids ou le sport, commencer doucement peut amener à la réflexion. Et puis un jour sans que tu t’en rendes compte, l’envie de t’acheter un paquet de cigarette ou un paquet de chocolat n’est plus aussi forte et tu ne sais même plus comment tu as fait avant, tu n’as plus envie d’être celle que tu étais (déclic inconscient). Cette méthode peut prendre plusieurs mois et nécessite souvent au moins au début des résultats ! la clef c’est de ne pas culpabiliser si on craque mais continuer tout de même, ne rien lâcher.

  1. Passer du temps avec son entourage

Les autres points de vue ou les remarques incessantes de son entourage peuvent également créer un déclic. Comment ? Ils te répètent sans cesse que tu as pris du poids, beaucoup trop, ils ne sont pas tendre avec toi parce qu’ils te connaissent. Bien sûre, sachez différencier les petites remarques à de la méchanceté gratuite. Un petit : « tu ne te tiens jamais à ce que tu dis » -> peut créer un déclic par contre un : « tu n’as clairement pas la force de réussir quelque chose » est de la méchanceté gratuite ! bref vous l’aurez compris, parlez avec vos proches accepter les remarques et utilisez votre ras le bol comme déclic 😉

  1. Accepter qu’un déclic ne viendra pas forcément

C’est bizarre à dire mais à vouloir absolument un déclic parfois celui-ci n’arrive pas pourquoi ? parce que vous vous focalisez dessus. Lorsque tu arrives à ce stade, c’est peut-être aussi le moment d’être gentil avec toi-même 🙂 peut-être qu’après des mois acharnés de réflexions etc. tu n’as pas eu de déclics significatifs, mais qu’une fois que tu regardes dans le rétroviseur, tu te rends compte que mine de rien tu as sacrément évolué 😉

  1. Se coucher la tête vide

Pourquoi, parce qu’il y a un temps pour réfléchir et un temps pour se reposer. A trop se focaliser sur le sujet tu risques seulement de « péter un câble » et devenir contreproductif. Un truc que je fais depuis des années, (depuis que ma mère m’a dit de le faire contre mes anxiétés), c’est me faire des films parfaits sur ma vie rêve.  Si tu as des difficultés à mettre ton cerveau sur off le soir venu, une chose qui peut aider c’est de se faire sa vie idéale, penser qu’à des choses super bien. Pas seulement y penser mais fermer les yeux et voir des images dans sa tête, vivre vraiment cette histoire parfaite ! et bien sûr se focaliser dessus… ne pas ouvrir les yeux ou commencer à repenser à autre chose. Au début c’est un peu difficile, par la suite, cela devient une routine super chouette, le moment où on se réjouis d’aller au lit pour rêver à sa vie parfaite de rêve 😀

  1. Voir s’il faut un déclic ou une thérapie -> dans ce cas se faire aider

Parfois le problème est bien plus profond, tu n’arriveras pas à cultiver un terrain propice au déclic. Si tu restes au même stade des mois durant, ou que tu te sens encore plus mal, au plus bas, une aide extérieure t’es vivement conseillée… cela fait un bien fou de pouvoir s’appuyer sur quelqu’un ! il ne faut pas avoir peur, l’important c’est d’être heureux dans sa vie, bien dans ses baskets. Beaucoup hésite, mais tu ne devrais pas, ce n’est pas lâche, ni ridicule. Il n’y a pas que les psy(chologues et chiatres). Il y a énormément d’autres thérapies qui peuvent te soulager suivant ce dont tu as besoin. une seule remarque faire super attention chez qui l’on va et faire attention à sa petite voix interne – si si celle qui te dit que tu n’aimes pas cette personne et qui ne te correspondra pas, la recherche peut prendre du temps si tu ne connais pas vraiment, voici une liste des différentes thérapies envisageables (attention bien se renseigner sur ce dont on a besoin !) :

Reiki, Sophrologie, Naturopathie, Voyance, Kinésiologue, Retraite méditative, Retraite yoga, coaching

  1. Faire du sport : 2 façons d’utiliser le sport pour un déclic

            – Faire du sport lent tels que marches pour permettre une réflexion. Plus que de la marche c’est être dans la nature, ouvrir ses sens, se poser un moment, réfléchir à tout et à rien.

            – Faire du sport avec intensité pour faire un stop dans le cerveau et se focaliser que sur le sport en question. Aussi pour se défouler ! c’est important de pouvoir sortir tout ce qu’on a à l’intérieur.

 

Dans les deux cas, varier sport lenteur dans la nature et sport avec intensité est un bon compromis pour avoir des plages pour soi et des plages de non-réflexions. Je répète parfois trop réfléchir ne sers à rien si ce n’est à tourner en rond et devenir frustrés. Lâcher prise est donc une « nécessité ».

  1. Sortir voir des gens que l’on ne connait pas

Pourquoi ? pour avoir encore d’autre point de vue. Tu peux aussi en profiter pour parler vaguement de ton projet 😉 sans que cela devienne LE sujet de conversation. Parfois un déclic peut se faire tout simplement par quelqu’un que tu ne connais pas et que tu ne reverras jamais mais qui arrive à te dire pile ce dont tu as besoin à cet instant T. et parfois, ça permet aussi de juste se faire de nouveaux amis, ou de sortir de son cercle qu’on connait par cœur et donc parfois un déclic se fait justement lorsqu’on sort de sa zone de confort. 

  1. Méditer

Pour tout, méditer encore et toujours, mais si tu as bien lu, il y a déjà des moments dans ta journée ou tu peux méditer sans en avoir trop l’impression. -> étoffer avec les différents styles de méditation…

  1. Sortir de sa zone de confort

On ne le dira jamais assez, sortir de sa zone de confort peut être à lui seul, un générateur de déclic. « Ah bah tu vois ?! j’en suis capable en fait !!! ». Rien que cela, prendre confiance en soi et voir les choses différemment. Bien sur certains auront besoin d’un saut à l’élastique pour sortir de leur zone de confort là où pour d’autres cela sera d’aller s’inscrire à une activité ou aller marcher dans une région inconnue. A toi de voir ce dont tu as besoin. Pour rappel, sortir de sa zone de confort c’est faire quelque chose dont tu n’as pas l’habitude et avec lequel tu n’es pas super à l’aise -> ou tu dois te surpasser 😉

  1. Voyager

Cela va avec sortir de sa zone de confort, mais voyager est aussi un moteur à déclic. Cela peut arriver durant le voyage, ou au retour. Lorsqu’il n’y a pas eu de prise de conscience significative durant le voyage, il est fort possible que celle-ci arrive une fois qu’on se retrouve le dos au mur en rentrant. Dans ce cas, très souvent, le choc est tellement violent qu’on n’arrive pas toujours à canaliser le tout pour pouvoir en tirer du positif. Le seul conseille que je donnerais est : laisses-toi du temps ! ça va venir, continue juste de croire en toi !

 

Reprendre le contrôle de sa vie, c’est réussir à tenir sur la longueur mentalement et physiquement. Le déclic ne constitue donc pas à lui seul sa reprise en mains, mais cela donne souvent l’impulsion nécessaire à déplacer des montagnes. Ne pas en avoir ne veut pas dire que vous ne changerez pas 😉 et n’oubliez pas de sourire !!!!

 

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